photos ©Christophe Raynaud de Lage / ©Lysiane Louis
IMAGINARIUM
Duo composé d’Hélène Breschand & Wilfried Wendling
Recherche psychédélique à la croisée des musiques hybrides, des arts numériques, du collage littéraire et de la performance cinématographique.
IMAGINARIUM
Aduo composed of Hélène Breschand
& Wilfried Wendling
Imaginarium follows on from a psychedelic research work at the junction of hybrid music, digital arts, literary collage and film performance.
Hélène Breschand, harpiste et improvisatrice, et Wilfried Wendling, compositeur électronique, s’associent autour du duo ‘Imaginarium’ pour nourrir et déployer leurs univers artistiques autour d’un dispositif immersif et multidisciplinaire aux multiples variations.
‘Imaginarium’ est composé de plusieurs séquences, chacune donnant lieu à une représentation d’une durée d’1h environ, et toutes indépendantes les unes des autres. Chaque séquence est une rêverie autour de thèmes et de problématiques chères au duo des musiciens. Chacune explore un rapport à la scène différent et une exploration des lieux. Des installations éphémères sont possibles selon les lieux.
Hélène Breschand et Wilfried Wendling explorent les mille facettes de leur univers onirique fait de trames et de faisceaux. Dans ce petit théâtre de l’imaginaire, se déploie par la musique un univers sensoriel dans lequel la pensée d’Étienne Klein croise les dessins de Marc-Antoine Mathieu ou de Max Ernst. La langue de Jean Genet s’emmêle avec celle de Jean-Luc Godard ou de Guy Debord dans une pratique surréaliste des nouvelles technologies et de la musique improvisée. Le voyage de la citation à la fiction originale est permanent et joue continuellement sur la mémoire collective et singulière.
Séquence 'Le Rêveur rêvé'
Le Rêveur rêvé est une œuvre encore inédite du dessinateur et bédéiste Marc-Antoine Mathieu qui se présente comme un jeu de quarante cartes avec lesquels nous pouvons composer notre propre page de bande dessinée. À la manière de Raymond Queneau et son 100 000 milliards de poèmes, il s’agit donc d’une œuvre ouverte aux possibilités combinatoires inexplorables pour un humain mortel.
L’exploration de ce potentiel en musique permet d’associer à chaque image des séquences sonores multiples. Les questions du nombre de cartes, de l’alternance des combinaisons et de leurs durées sont autant de questionnements formels, essentiels et musicaux qui prolongent les réflexions de Marc-Antoine Mathieu sans jamais renoncer à l’exigence poétique.
Le public est plongé dans un dispositif immersif fait de lambeaux d’écrans comme autant de surfaces de projections déformantes abandonnées au regard. Les faisceaux vidéo se matérialisent pour sortir la perception d’une exposition frontale et inverser le regard du spectateur confronté à la reproduction de sa propre image, dans une mise en abyme typique des concepts de Marc-Antoine Mathieu.
Hélène Breschand et Wilfried Wendling continuent avec cette nouvelle création d’explorer les territoires féconds des œuvres ouvertes chères à Umberto Eco.
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Production : La Muse en Circuit – CNCM / Extensio
Aide à la création de la DRAC Île-de-France
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Les autres séquences du projet
« Hors temps » : autour d’Étienne Klein, de Chris Marker et de réflexions sur le temps.
« Origine » : autour d’Etienne Klein, de Marc-Antoine Mathieu et des mathématiques.
« Histoire(s) de cinémas » : autour de Guy Debord, Jean-Luc Godard, Ingmar Bergman et David Lynch.
« Nuit » : autour de Maurits Cornelis Escher, Henri Michaux et Jean Genet.
« Alice » : autour de Max Ernst et de la Logique sans peine de Lewis Carroll.
Un dispositif modulaire et immersif
‘Imaginarium’ propose une interaction des espaces : la vidéo, alliant découpes, images et matières, est projetée sur tous les espaces de jeux, sur le public et devient ainsi à la fois décor et lumière. Transformant l’espace redécoupé, la scène disparaît, se recrée, rappelant un espace cosmique en formation.
La harpe d’Hélène Breschand devient à la fois matière sonore et déclencheur de l’électronique. Les voix des musiciens alternent entre la narration d’un discours intelligible et l’abstraction du discours musical. La vidéo diffuse des images génératives, des photos, des films, réagissant également à l’environnement sonore.
Le public est immergé dans des dispositifs sonores (haut-parleurs, instruments acoustiques, objets…) et visuels (lumières, LED, stroboscopes, vidéo…), réalisés sur mesure pour chaque lieu d’accueil.
Hélène Breschand
Soliste internationale, compositrice, Hélène Breschand est une figure emblématique de la harpe expérimentale et contemporaine. « D’une grande force méditative et d’une richesse musicale nourrie à des sources très diverses, la musique d’Hélène Breschand parvient à faire oublier la spécificité de son instrument pour atteindre à une singulière universalité. »
Cette description extraite du magazine Mouvement, raconte sa capacité à harmoniser silences et résonances avec une maîtrise et une pertinence qui, alliées à une rare inventivité, confèrent à l’instrument une dimension étonnante. Julian Cowley dans The Wire ajoute « Si vous considérez toujours la harpe comme un anachronisme, faites simplement l’expérience de la portée et de la puissance de Breschand dans Le Goût du Sel. »
« Hélène Breschand fait partie de ces musiciennes capables d’évoluer à la limite de plusieurs domaines qui vont de la musique contemporaine au jazz. Il suffit de l’entendre jouer pour se rendre compte qu’elle vit pleinement l’interprétation et l’improvisation comme deux approches complémentaires de la musique. » – Hugues le Tanneur, Le Monde.
Sensible au croisement des disciplines artistiques et aux expériences transfrontalières, elle a collaboré au fil des rencontres, écrites ou improvisées, avec de nombreux artistes tels Luciano Berio, Luc Ferrari, Eliane Radigue, David Toop, Elliott Sharp, Reinhold Friedl, eriKm, Karelle Prugnaud, Kasper T. Toeplitz, Franck Vigroux, Wilfried Wendling…. Elle crée également pour les arts plastiques (avec Hiroshi Sugimoto, Christian Marclay, Caecilia Tripp…), le cinéma (pour Sophie Bredier, Viviane Candas, Gilles Weinzaepflen,…) et la danse (avec Mic Guillaumes, Christian UBL…). Après son spectacle et album Pandore, elle crée Anésidora, autour de ses partitions animées.
Wilfried Wendling
« La poésie est musique, chacun le sait, mais il faut être compositeur pour en exploiter la richesse de timbres, de rythmes et d’images.
Aujourd’hui, le compositeur trouve dans l’ordinateur un instrument aux possibilités inouïes pour modeler ce que lui inspirent les poètes. Wilfried Wendling (…) joue de l’ordinateur comme Liszt du piano ou Paganini du violon…»
– Pierre Gervasoni, LE MONDE
Né dans une famille de théâtre, très tôt passionné par les rapports scène, texte, musique, Wilfried Wendling se forme auprès de Georges Aperghis, puis dans différents conservatoires. Féru de nouvelles technologies, l’ordinateur devient progressivement son instrument de prédilection, dont il étend l’usage de la musique électronique à la création vidéo et aux arts numériques.
Il collabore avec Pierre Henry, Luc et Christian Boltanski, Jacques Jouet, Anna Alvaro, Valérie Rouzeau, Marc-Antoine Mathieu, Marie-Claude Pietragalla, Mathurin Bolze, Roland Auzet, Étienne Rey, Laurence Vielle, Jérome Thomas, Denis Lavant… Ses pièces ont été jouées dans de nombreux lieux – Odéon théâtre de l’Europe, 104, Opéra-comique, Nanterre Amandiers –, sur de nombreuses scènes nationales ou de théâtres (…) et dans divers festivals : Présence, Festival d’Automne, Nuit Blanche à Paris, Musica …
Wilfried Wendling compose et met en scène dès 1995 des spectacles pluridisciplinaires, notamment présentés au Théâtre des Amandiers, à l’Odéon théâtre de l’Europe et régulièrement au 104 (Paris). Il est artiste associé à la Maison de la poésie de Paris de 2010 à 2012 dans le cadre du dispositif DGCA / SACEM.
En 2013, Wilfried Wendling a été nommé par la ministre de la Culture à la direction de La Muse en Circuit, Centre National de Création Musicale.
En 2017, il met en scène un spectacle autour d’Hamlet avec Serge Merlin, qu’il compose en collaboration avec Pierre Henry (Archipel, scène nationale de Perpignan, Nouveau théâtre de Montreuil, MAC de Créteil). En 2019, il créé le projet FAKE avec Abbi Patrix et Linda Edsjö, d’après le Peer Gynt d’Ibsen. Depuis sa création avec Lieux Public, cette performance dans l’espace public est toujours en tournée. Pour Erreurs salvatrices (2021), expérience immersive et polyphonique à la croisée des arts du cirque, de la vidéo, du théâtre, de la musique électronique et de l’expérience plastique, Wilfried Wendling est tout à la fois concepteur, compositeur, metteur en scène et performeur aux côtés de Denis Lavant. Le Rêveur rêvé est sa dernière création en complicité avec Hélène Breschand.
Distribution et production
Hélène Breschand – harpe électronique
Wilfried Wendling – dispositif visuel et sonore
Production déléguée : Extensio
Coproduction : La Muse en Circuit – CNCM d’Alfortville
Agenda
2022-23
24.11.2023 | La Muse en Circuit, Alfortville
24.05.2023 | Le !POC!, Alfortville [ + ]
21.03.2023 | dans le cadre des Modulations | GMEM, Marseille [ + ]
13.01.2023 | MuseInSitu, La Muse en Circuit, Alfortville [ + ]
25.11.2022 | festival Instants Fertiles #10, Le VIP, Saint-Nazaire | en partenariat avec Athénor – CNCM [ + ]
25.05.2022 | Musique Action | CCAM, Scène Nationale de Vandoeuvre [ + ]
2018-2020
14.10.2021 | Le Phare, Centre chorégraphique National du Havre [ + ]
30.03.2021 | MuseInSitu, La Muse en Circuit, Alfortville
23.10.2020 | Séquence « Histoire(s) de cinémas » autour de Guy Debord, Jean-Luc Godard, Ingmar Bergman et David Lynch | Concert de sortie de résidence [MuseInSitu] | La Muse en Circuit, Alfortville.
19.04.2019 | Auditorium de Centre George Pompidou, Paris
du 5 au 9.11.2018 | Résidence au 104, Paris
17.03.2018 | La Muse en Circuit, Alfortville
Hélène Breschand, harpist and improviser, and Wilfried Wendling, electronic composer, have joined forces in the duo ‘Imaginarium’ to nurture and develop their artistic universes around an immersive and multidisciplinary device with multiple variations.
Imaginarium’ is made up of several sequences, each of which gives rise to a performance lasting approximately one hour, and all of which are independent of each other. Each sequence is a reverie around themes and issues dear to the duo of musicians. Each one explores a different relationship to the stage and an exploration of the space. Ephemeral installations are possible depending on the location.
Hélène Breschand and Wilfried Wendling explore the thousand facets of their dreamlike universe made of wefts and beams. In this small theatre of the imagination, music unfolds a sensory universe in which the thoughts of Étienne Klein meet the drawings of Marc-Antoine Mathieu or Max Ernst. The language of Jean Genet is mixed with that of Jean-Luc Godard or Guy Debord in a surrealist practice of new technologies and improvised music. The journey from quotation to original fiction is permanent and continually plays on collective and singular memory.
Segments 'Le Rêveur rêvé'
‘Le Rêveur rêvé’ is an unpublished work by cartoonist Marc-Antoine Mathieu. It is presented as a deck of forty cards with which we can compose our own comic strip page. In the manner of Raymond Queneau and his ‘100,000 billion poems’, this is an open work with unexplored combinatory possibilities for mortal man.
The exploration of this potential in music makes it possible to associate each image with sound sequences whose superimposition composes the structural counterpoint. On each card, a text of a few words is associated with the image and gives it a particular meaning, in the same way the music will be linked to each card but will allow, contrary to the eye, the semantic superposition of several cards. The questions of the number of cards, the alternation of combinations and their duration are all essential formal and musical questions that extend Marc-Antoine Mathieu’s reflections without ever abandoning the poetic requirement.
The immersive device starts from the traditional scenography of the « cyclo » to divert it through shreds of screens, arranged on the stage like so many deforming projection surfaces abandoned to the eye. The video beams materialize to take the perception out of a frontal exposure and invert the spectator’s gaze confronted with the reproduction of his own image, in a mise en abyme typical of Marc-Antoine Mathieu’s concepts.
With this new creation, Hélène Breschand and Wilfried Wendling continue to explore the fertile territories of the open works dear to Umberto Eco.
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Executive production: La Muse en Circuit – CNCM / Extensio
Support for the creation of the DRAC Île-de-France
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Segments
IMAGINARIUM is divided in segments. The segments, lasting about one hour each, are independent from each other. Every segment is a daydream around themes and issues dear to the pair:
“Out of Time”: Around Etienne Klein, Chris Marker, and thoughts about time.
“Origin”: Around Etienne Klein and Marc-Antoine Mathieu, and mathematics.
“History(ies) of cinemas”: Around Guy Debord, Jean-Luc Godard, Ingmar Bergman and David Lynch.
“Night”: Around Maurits Cornelis Escher, Henri Michaux, and Jean Genet.
“Alice”: Around Max Ernst and Lewis Carroll’s symbolic logic.
Every segment explores a different relationship to the stage.
Temporary installations are possible depending on the venues.
Modular and immersive system
This creation offers an interaction of spaces: there is no stage anymore, the video is displayed on the whole audience. The idea of a stage disappears to be replaced by unpartitioned performing spaces.
Mixing cuttings, images and materials, the video is projected on all performing spaces and on the audience, thus becoming both scenery and lighting. The redistributed space is transformed and the stage disappears, is recreated, reminding of a cosmic space being formed.
The audience is immersed in sound systems (loudspeakers, acoustic instruments, objects…) and visual systems (lights, LEDs, stroboscopes, videos…) that are tailor-made for every venue.
Helene Breschand
An international soloist and composer, Hélène Breschand is an emblematic figure of the experimental and contemporary harp. « With a great meditative force and a musical richness nourished by very diverse sources, Hélène Breschand’s music manages to make us forget the specificity of her instrument in order to reach a singular universality.
This description, taken from Mouvement magazine, tells of her ability to harmonise silences and resonances with a mastery and relevance which, combined with a rare inventiveness, give the instrument an astonishing dimension. Julian Cowley in The Wire adds, « If you still regard the harp as an anachronism, just experience the range and power of Breschand in The Taste of Salt. »
“Hélène Breschand is one of those musicians able to evolve on the verge of several genres ranging from contemporary music to jazz. You just need to hear her play to realize that she wholeheartedly lives interpretation and improvisation as two complementary approaches of music.” – Hugues le Tanneur, Le Monde
Sensitive to the crossing of artistic disciplines and to cross-border experiences, she has collaborated in the course of written or improvised encounters with many artists such as Luciano Berio, Luc Ferrari, Eliane Radigue, David Toop, Elliott Sharp, Reinhold Friedl, eriKm, Karelle Prugnaud, Kasper T. Toeplitz, Franck Vigroux, Wilfried Wendling…. She also creates for the visual arts (with Hiroshi Sugimoto, Christian Marclay, Caecilia Tripp…), cinema (for Sophie Bredier, Viviane Candas, Gilles Weinzaepflen…) and dance (with Mic Guillaumes, Christian UBL…). After her show and album Pandore, she created Anésidora, around her animated scores.
Wilfried Wendling
“Poetry is music, as everyone knows, but you need to be a composer to make the most of its richness of tones, rhythms and images.
Today, composers find in the computer an instrument with incredible potential to give shape to what poets inspire them. Wilfried Wendling (…) plays the computer just like Liszt played the piano or Paganini the violin…”
– Pierre Gervasoni, Le Monde
Born into a theatre family, Wilfried Wendling was fascinated by the relationship between stage, text and music from a very early age. He trained with Georges Aperghis and then at various conservatories. A fan of new technologies, the computer gradually became his favourite instrument, and he extended its use from electronic music to video creation and digital arts.
He has collaborated with Pierre Henry, Luc and Christian Boltanski, Jacques Jouet, Anna Alvaro, Valérie Rouzeau, Marc-Antoine Mathieu, Marie-Claude Pietragalla, Mathurin Bolze, Roland Auzet, Étienne Rey, Laurence Vielle, Jérome Thomas, Denis Lavant… His plays have been performed in many places – Odéon théâtre de l’Europe, 104, Opéra-comique, Nanterre Amandiers -, on many national stages or theatres (…) and in various festivals: Présence, Festival d’Automne, Nuit Blanche à Paris, Musica …
Since 1995, Wilfried Wendling has been composing and directing multidisciplinary shows, notably presented at the Théâtre des Amandiers, the Odéon Théâtre de l’Europe and regularly at the 104 (Paris). He is an associate artist at the Maison de la poésie de Paris from 2010 to 2012 as part of the DGCA / SACEM scheme.
In 2013, Wilfried Wendling was appointed by the Minister of Culture to direct La Muse en Circuit, Centre National de Création Musicale.
In 2017, he directed a show about Hamlet with Serge Merlin, which he composed in collaboration with Pierre Henry (Archipel, scène nationale de Perpignan, Nouveau théâtre de Montreuil, MAC de Créteil). In 2019, he created the FAKE project with Abbi Patrix and Linda Edsjö, based on Ibsen’s Peer Gynt. Since its creation with Lieux Public, this performance in the public space is still on tour. For Erreurs salvatrices (2021), an immersive and polyphonic experience at the crossroads of the circus arts, video, theatre, electronic music and the plastic arts, Wilfried Wendling is the designer, composer, director and performer alongside Denis Lavant. Le Rêveur rêvé is his latest creation in collaboration with Hélène Breschand.
Distribution & production
Hélène Breschand – electronic harp
Wilfried Wendling – visual and sound creation
Executive production: Extensio
Coproduction : La Muse en Circuit – CNCM d’Alfortville
Support for the creation of Région Île-de-France
Agenda
2022-23
24.11.2023 | La Muse en Circuit, Alfortville
24.05.2023 | Le !POC!, Alfortville [ + ]
21.03.2023 | Les Modulations | GMEM, Marseille [ + ]
13.01.2023 | MuseInSitu, La Muse en Circuit, Alfortville [ + ]
25.11.2022 | Instants Fertiles #10 festival, Le VIP, Saint-Nazaire | in partnership with Athénor – CNCM [ + ]
25.05.2022 | Musique Action | CCAM, Scène Nationale de Vandoeuvre [ + ]
2018-2020
14.10.2021 | Le Phare, Centre chorégraphique National du Havre [ + ]
30.03.2021 | MuseInSitu, La Muse en Circuit, Alfortville
23.10.2020 | MuseInSitu, « Movies’stories » around Guy Debord, Jean-Luc Godard, Ingmar Bergman and David Lynch | La Muse en Circuit, Alfortville.
19.04.2019 | Auditorium of Centre George Pompidou, Paris
du 5 au 9.11.2018 | Residency in Le 104, Paris
17.03.2018 | La Muse en Circuit, Alfortville
France Musique en parle
« Cette œuvre, comme d’autres projets de Wilfried Wendling et Hélène Breschand, questionne justement la disparition de la scène. L’abolition de toute frontière avec le public. Dans ce cas, la captation de ce concert peut se voir comme un film expérimental, une partie intégrante de l’oeuvre d’art. »
Hémisphère son : interview des artistes
Interview d’Hélène Breschand et Wilfried Wendling dans le cadre des Rencontres sonores du festival Musique action #38. « Au fil des exemples, ils nous offrent un voyage fascinant qui prolonge l’émotion ressentie la veille, à la croisée des arts : littérature, théâtre, cinéma, musique… »
écouter l’interview
ResMusica
« Imaginarium est cet objet éphémère qui sollicite tous nos sens et cet espace sans limite qu’explorent nos deux artistes performers, dans un rapport spectateur-créateur qu’ils réinterrogent en permanence. »
Arts-chipels.fr
« Les projets combinant texte, arts graphiques, vidéo et musique apparaissent régulièrement dans le domaine du spectacle vivant, mais ils parviennent rarement à une synergie telle que le spectacle trouve sa colonne vertébrale dans leur association. Le Rêveur rêvé, dans un registre poétique et musical, offre une très intéressante symbiose, à la fois forte et séduisante. » – Sarah Franck
