Après Aucun Lieu et Ruines, Flesh s’inscrit dans le prolongement d’une exploration d’un « théâtre-musical » à la frontière des arts plastiques, du concert et du théâtre. Corps en mouvement, sculptures de lumière, effets de machinerie, vidéo et musiques constituent les éléments de cette tentative de « Gesamtkunstwerk », véritable immersion du spectateur dans un univers hallucinatoire, à travers des paysages fantastiques où se croisent carcasses mécaniques, animaux sauvages et figures humaines. Réel et irréel semblent se confondre.
(crédit : Kurt d’Haeseleer)