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© Florence Babin

Sa mue nous livre le journal intime d’une femme : sur une page de vie qui s’écrit, se tourne et recommence, accrochée à des murs de fils verticaux comme des peaux ou des feuilles de papier, elle évoque les cycles de vie, le temps qui passe, et la relation intime qu’elle – et chacun – entretient avec son corps. Par le biais d’un dispositif sonore créé par le compositeur Wilfried Wendling, le souffle de l’acrobate dialogue avec les mots vibrants de la poète Laurence Vielle, mettant en résonance les espaces et les imaginaires du corps – du dedans et du dehors.